Pépère dans les bois [ TERMINÉ ]

La route fût calme et assez tranquille si on faisait abstraction des intempéries. Rapidement, le sylvain et le chien arrivèrent de nouveau à la maison de la femme. De toute évidence, le chien avait hâte de rentrer et n'opposait aucune résistance à Pierre. Au contraire, il lui lêchait doucement la main comme pour le remercier de l'avoir aider.

Pierre arriva rapidement devant la maison de la veille. La pluie ne s'était pas calmée et il était content de rentrer au chaud. Le chien avait été très calme, il lui léchait même la main par moment. Il ouvrit la porte de la maison, et fit passé le chien devant lui. Dès qu'il vu sa maîtresse, le chien courut vers elle en remuant la queue.

" Votre chien était sorti dehors, il se faisait martyriser par des paysans qui lui jetait des pierres, heureusement que je suis arrivé à temps. "

Pierre espérait maintenant pouvoir passé la nuit ici, car il était trop tard pour chercher un endroit où dormir, mais il ne demanda pas à l veille, il était son hôte et ce n'était pas à lui de décider, en outre il ne voulait pas s'imposer.

" Votre chien était sorti dehors, il se faisait martyriser par des paysans qui lui jetait des pierres, heureusement que je suis arrivé à temps. "

La vieille dame semblait ravie. Elle attendait Pierre avec une petit panier couvert par un torchon finement brodé.

"Merci! Merci beaucoup, jeune homme! Je ne peux pas vous héberger ici, je suis désolé, mais en revanche, pour vous montrer ma gratitude, j'ai ici à manger pour plusieurs jours, une couverture, de la confiture et des vêtements propres car sous vous offenser... On dirait que cela fait longtemps que vous n'avez pas pris de bain! Hihi"

" Merci! Merci beaucoup, jeune homme! Je ne peux pas vous héberger ici, je suis désolé, mais en revanche, pour vous montrer ma gratitude, j'ai ici à manger pour plusieurs jours, une couverture, de la confiture et des vêtements propres car sous vous offenser... On dirait que cela fait longtemps que vous n'avez pas pris de bain! Hihi "

Pierre était très content des cadeaux de la veille qu'avait commencé à apprécier. Il avait reçu plusieurs repas, une couverture, ce qui pourrait être très utile à l'avenir, et surtout des vêtements propre. C'était un haut tout simple, de couleur beige, qui par chance était à la taille de Pierre. Il y avait aussi un pantalon de toile de bonne facture, assez résistant d' apparence. Pierre regrettait de ne pas pouvoir être héberger par la veille, car il pleuvait toujours, bien que la pluie avait commencé à se calmer, et il était trop tard au goût de Pierre pour chercher un logement, à de forcer un peu la main. Il pris les affaires que lui tendait la dame et les fourra dans son sac à dos.

" C'est pas grave. Ne vous inquiétez pas pour moi, et encore merci pour les vêtements, c'est vrai que j'en ait besoin ! Faites gaffe à votre chien la prochaine fois, des fois qu'il ne lui arrive pas de problèmes... "

Pierre nota dans un coin de sa tête que la veille avait l'air de tenir tellement à son chien au point de faire n'importe quoi. Ça pourrait lui servir, un jour. Pierre fit un signe au chien, et referma la porte. Il devait immédiatement partir cherche un endroit où dormir.

Dehors, l'averse c'était clairement changé en orage et un terrible vent froid et humide battait les tempes du demi-elfe comme autant de gifles.

* Il commence à pleuvoir sévère. Faut que je trouve une piaule et vite. Une maison abandonné serait idéal, mais faudrait de la chance pour que ça arrive. *

Pierre courut vers la sortie du village. Il cherchais une habitation ou loger, plus particulièrement une ferme, car ça lui permettait de s'abriter pour la nuit sans craindre de s'attirer des ennuis, du moins il espérait. Pierre courut sur quelques centaine de mètres sous la pluie quand il trouva sur le bord de la route une ferme qui semblait désertée. Il entra, toujours en courant, vers une grange. C'était un grand bâtiment où les vaches dormaient en hiver. Heureusement il semblait y avoir personne.

* Et bien, la couverture que m'a donné la veille tombe à pique, je vais me les cailler sinon. *

Pierre se posa à terre, dans un coin, près de la porte, certes il prenait les courants d'air, mais en cas d’événement inopportun il serait le premier averti, ce n'était pas un précaution de trop, car nombreux étaient les voyageurs dans le même cas que Pierre, piégés par la pluie, et il ne voulait pas faire de mauvaises rencontres.

Pierre s'était installé non loin de la porte de la grange qu'il referma derrière lui. Par chance, si cette grange n'était pas vraiment un modèle de lutte contre les courants d'air et les infiltration d'eau, c'était également une réserve de foin, et il fallait le reconnaitre, cela faisait un moment que le sylvain n'avait pas connu meilleur lit. Il passa une nuit finalement assez agréable, protêgé du froid par sa couverture et par le foin qui l'isolait du sol. Il se réveilla le lendemain plus que frais et d'attaque pour dévorer le monde ou repartir faire une sieste dans un pré.

» Traquons-les dans les bois, pendant qu'les soldats sont là... [Terminé]
» Fourberies et gueule de bois [Terminé]
» Un, deux, trois, nous allons aux bois! [Terminé]
» Promenons nous dans les bois
» Course dans la ville [Terminé]